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✰ Lim Miyu
Messages : 204
Date d'inscription : 18/01/2019
good looks, bad feels / lim UNE OEUVRE DE Lim Miyu Lun 21 Jan - 0:44 |
lim miyu
surnom // SILK
prénom(s) nom // LIM MIYU
âge // 312ANS - VINGTAINE D'APPARENCE
genre // MONSTRE TYPE FURARIBI
sexualité // BISEXUEL PAR INTÉRÊT
statut marital // CÉLIBATAIRE
lieu de résidence // SAKU SAKU, À SAKURA NO BORUTO
poste/métier // AFFILIÉ INDIGO
groupe // OLMS
les finances ? // CORRECTES
origines // MAKAI
feat. // HOWL, HOWL'S MOVING CASTLE
MONSTERS ARE AMONG US
私たちの間でモンスター
私たちの間でモンスター
pouvoir
En tant que Furaribi, Lim peut exaucer n'importe quel souhait... Il a toujours jugé son don avec ironie au vue de la stupidité humaine - oui, il ne s'en cache pas, il ne porte pas les humains dans son coeur. Il a certes, comme la plupart des membres de son espèce, envié leur capacité à pleurer, à évacuer leurs sentiments tristes dans les larmes... Or, ce n'est pas pour autant qu'il s'accordera à dire qu'il les estime. Il ne les estime pas - il ne les estime plus.
Son don, il n'en fait jamais usage. Fut-il un temps, il l'a utilisé - cela lui procurait un sentiment de satisfaction et de chaleur. Faire plaisir à quelqu'un, lui rendre le sourire, voir ses yeux s'écarquiller de joie, de félicité... Cela valait bien les quelques mois de vie qu'il donnait en échange, non ? Aujourd'hui il s'en veut, il en rit, il en rit d'amertume.
the secret spell that has corrupted my soul
RIVIÈRE - je me souviens de la rivière qui bordait la maison de ma grand-mère. Y nageaient les esprits des grands poissons que les humains avaient tué dans leur monde. Ma grand-mère me racontait que, morts, les poissons se déliaient de leurs âmes. Elles se mettaient alors à nager jusqu’au ciel pour rejoindre notre monde où elles iraient cueillir leur repos éternel. Certaines, trop fatiguées par le voyage, s’étaient arrêtées dans la rivière coulant en bas de chez ma grand-mère et n’étaient jamais reparties car elles s’y sentaient bien. J’aimais regarder l’eau clair et ses remous légers, j’aimais écouter ma grand-mère raconter l’histoire des esprits des grands poissons, j’aimais regarder les esprits des grands poissons nager.
FUMÉE - je me souviens de l’odeur de souffre et de cendres qui s’empara de mes vêtements alors que je m’écrasais sur le bitume. Je me souviens de la panique autour de moi, des cris, des silhouettes déformées par les nappes épaisses et grises. Je me souviens de la quantité incroyable d’humains s’affolant autour de moi, je me souviens de ma peur, de mon incompréhension, je me souviens de mon oubli soudain et net, je me souviens d’avoir oublié Makai tout en ayant souvenir d’y avoir été subitement arraché.
POMME D’AMOUR - je me souviens du goût sucré de la pomme enrobée dans le caramel rouge et chaud. Je me souviens qu’on me l’a offerte au centre de recensement, que c’est une petite fille humaine qui me l’a offerte. C’était la première fois que je mangeais une pomme d’amour. Je me souviens de son sourire et du regard compatissant de sa mère. Je me souviens de la robe fleurie que portait sa mère. Je me souviens du tumulte autour de moi, de la longue file d’attente pour obtenir une identité. Je me souviens des médecins en blouse blanche, je me souviens du discours du Maire de la ville retransmis à la télévision. Je me souviens que la salle d’attente embaumait la pomme d’amour.
POUSSIÈRE - je me souviens de la fine couche de poussière qui recouvrait le parquet de l’appartement. Je me souviens que je le trouvais petit et sale mais charmant. Je me souviens du regard mauvais du propriétaire à mon égard. Je me souviens de mon ami qui me tenait la main pour m’encourager. Je me souviens l’avoir entendu rappeler au propriétaire que je n’étais pas différent d’eux et que je méritais aussi un toit. Je me souviens avoir apprécié la vue de cette fine couche de poussière qui recouvrait le parquet de l’appartement, parce que c’était mon premier appartement.
MOJITO FRAISE - je me souviens du regard lubrique de l’homme assit en face de moi et de son grand sourire lorsqu’il m’offrit un mojito à la fraise. Je me souviens du goût frais, alcoolisé et sucré. Je me souviens qu’il s’adressait à moi en employant « mademoiselle ». Je me souviens avoir été vexé qu’il me prenne pour une fille. Je me souviens de son baiser abrupte et piquant du fait de ses poils de barbe. Je me souviens m’être dit que j’avais besoin d’argent. Je me souviens de ses mains sur ma tête, de son sexe dans ma bouche. Je me souviens m’être dit que je préférais le goût du mojito à la fraise.
FIGURINE DE CHAT - je me souviens de la figurine de chat trônant sur l’étagère de sa chambre. Je me souviens de ses nattes défaites et de sa robe froissée. Je me souviens de ses caresses sur mon visage et de ses cils recourbés. Je me souviens avoir regardé la figurine de chat sur l’étagère lorsqu’elle m’embrassa pour la première fois. Je me souviens avoir rougit et l’avoir regardé rougir à son tour. Je me souviens de l’accélération des battements de mon coeur. Je me souviens de la figurine de chat trônant sur l’étagère de sa chambre et de son silence complice de mon premier amour.
TAPIS VERT - je me souviens du tapis vert roulé en boule dans un coin de la salle de bain et du carreau de carrelage ouvert sur le trou qui me servait à cacher mon argent. Je me souviens des billets étalés sur le carrelage. Je me souviens de son regard furieux et de ses questions. Je me souviens de sa gifle et je me souviens y avoir répondu en énumérant les noms des gens qui m’offraient des mojitos. Je me souviens avoir souhaité pleurer pour évacuer la douleur. Je me souviens m’être assit à côté du tapis vert roulé en boule en souhaitant qu’elle me pardonne. Je me souviens m’être dit que ce tapis vert m’avait trahit comme je l’avais trahit elle.
BAS RÉSILLES - je me souviens de la première paire de bas résilles qu’elle m’a offerte. Je me souviens de son sourire qui n’était ni triste, ni heureux lorsqu’elle me les a tendu. Je me souviens de son inquiétude lorsqu’elle me fit répéter ma promesse de ne jamais dépasser les baisers. Je me souviens de notre échange de regard abattu et de notre longue étreinte. Je me souviens avoir enfilé les bas résilles avec difficulté. Je me souviens m’être dit que je ne serais jamais aussi jolie qu’elle. Je me souviens de son léger rire lorsque je lui ai dis que je ne serais jamais aussi jolie qu’elle.
le reste vient lulululu
FUMÉE - je me souviens de l’odeur de souffre et de cendres qui s’empara de mes vêtements alors que je m’écrasais sur le bitume. Je me souviens de la panique autour de moi, des cris, des silhouettes déformées par les nappes épaisses et grises. Je me souviens de la quantité incroyable d’humains s’affolant autour de moi, je me souviens de ma peur, de mon incompréhension, je me souviens de mon oubli soudain et net, je me souviens d’avoir oublié Makai tout en ayant souvenir d’y avoir été subitement arraché.
POMME D’AMOUR - je me souviens du goût sucré de la pomme enrobée dans le caramel rouge et chaud. Je me souviens qu’on me l’a offerte au centre de recensement, que c’est une petite fille humaine qui me l’a offerte. C’était la première fois que je mangeais une pomme d’amour. Je me souviens de son sourire et du regard compatissant de sa mère. Je me souviens de la robe fleurie que portait sa mère. Je me souviens du tumulte autour de moi, de la longue file d’attente pour obtenir une identité. Je me souviens des médecins en blouse blanche, je me souviens du discours du Maire de la ville retransmis à la télévision. Je me souviens que la salle d’attente embaumait la pomme d’amour.
POUSSIÈRE - je me souviens de la fine couche de poussière qui recouvrait le parquet de l’appartement. Je me souviens que je le trouvais petit et sale mais charmant. Je me souviens du regard mauvais du propriétaire à mon égard. Je me souviens de mon ami qui me tenait la main pour m’encourager. Je me souviens l’avoir entendu rappeler au propriétaire que je n’étais pas différent d’eux et que je méritais aussi un toit. Je me souviens avoir apprécié la vue de cette fine couche de poussière qui recouvrait le parquet de l’appartement, parce que c’était mon premier appartement.
MOJITO FRAISE - je me souviens du regard lubrique de l’homme assit en face de moi et de son grand sourire lorsqu’il m’offrit un mojito à la fraise. Je me souviens du goût frais, alcoolisé et sucré. Je me souviens qu’il s’adressait à moi en employant « mademoiselle ». Je me souviens avoir été vexé qu’il me prenne pour une fille. Je me souviens de son baiser abrupte et piquant du fait de ses poils de barbe. Je me souviens m’être dit que j’avais besoin d’argent. Je me souviens de ses mains sur ma tête, de son sexe dans ma bouche. Je me souviens m’être dit que je préférais le goût du mojito à la fraise.
FIGURINE DE CHAT - je me souviens de la figurine de chat trônant sur l’étagère de sa chambre. Je me souviens de ses nattes défaites et de sa robe froissée. Je me souviens de ses caresses sur mon visage et de ses cils recourbés. Je me souviens avoir regardé la figurine de chat sur l’étagère lorsqu’elle m’embrassa pour la première fois. Je me souviens avoir rougit et l’avoir regardé rougir à son tour. Je me souviens de l’accélération des battements de mon coeur. Je me souviens de la figurine de chat trônant sur l’étagère de sa chambre et de son silence complice de mon premier amour.
TAPIS VERT - je me souviens du tapis vert roulé en boule dans un coin de la salle de bain et du carreau de carrelage ouvert sur le trou qui me servait à cacher mon argent. Je me souviens des billets étalés sur le carrelage. Je me souviens de son regard furieux et de ses questions. Je me souviens de sa gifle et je me souviens y avoir répondu en énumérant les noms des gens qui m’offraient des mojitos. Je me souviens avoir souhaité pleurer pour évacuer la douleur. Je me souviens m’être assit à côté du tapis vert roulé en boule en souhaitant qu’elle me pardonne. Je me souviens m’être dit que ce tapis vert m’avait trahit comme je l’avais trahit elle.
BAS RÉSILLES - je me souviens de la première paire de bas résilles qu’elle m’a offerte. Je me souviens de son sourire qui n’était ni triste, ni heureux lorsqu’elle me les a tendu. Je me souviens de son inquiétude lorsqu’elle me fit répéter ma promesse de ne jamais dépasser les baisers. Je me souviens de notre échange de regard abattu et de notre longue étreinte. Je me souviens avoir enfilé les bas résilles avec difficulté. Je me souviens m’être dit que je ne serais jamais aussi jolie qu’elle. Je me souviens de son léger rire lorsque je lui ai dis que je ne serais jamais aussi jolie qu’elle.
le reste vient lulululu
LOU ニックネーム | coucou c moi la fonda, je pue, je suis lente, j'ai la flemme de tout mais no worries, ça va être fun (c hyper rassurant) |
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