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✰ La Navaja
Messages : 2
Date d'inscription : 15/02/2019
LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE La Navaja Sam 16 Fév - 20:23 |
la navaja
surnom la navaja, le j se prononçe r. ils l'appellent tous comme ça dans le milieu
prénom nom personne ne sait, personne ne saura
âge 45 ans d'apparence, pas loin de 200 en vérité
genre kami-kiri
sexualité on ne la voit en ménage qu'avec des femmes. ça ne dure jamais
statut marital divorcée
lieu de résidence sakura no boruto
poste/métier ancienne affiliée indigo et baronne de la pègre, elle gère un salon de coiffure en centre-ville, le big chop, qui servait de couverture. aujourd'hui c'est un vrai négoce, avec des employés
groupe autrefois de mèche avec olms, elle a chèrement payé sa sortie chez les citoyens. aujourd'hui limogée, mais toujours dans le spectre de son passé, elle tente de rester dans les clous. pour plusieurs raisons vous vous doutez que ça n'est pas facile
les finances ? elle est assise sur une petite fortune dont elle a dilapidé une grande partie afin de s'affranchir
origines makai
feat. miss crocodile
vertige blanc ivresse cruelle
白いめまい 残酷な酔い
白いめまい 残酷な酔い
pouvoir
en tant que kami-kiri, la navaja peut infecter les humains en consommant leurs cheveux. selon leur nombre, elle peut plonger sa victime dans un mal qui va de la torpeur légère au syndrome incurable. elle en a fait son business, habilement couvert par une image de marque de haut standing et un excellent service à la clientèle dans lequel elle a tout investi.
la navaja cache sa lame derrière une obligeance très regardante, parfaitement fondue dans les coutumes locales, et observant un rythme de travail forcené (c'est plus vrai pour ses employés que pour elle). elle fidélise à tout va à coup de promotions alléchantes, noyant le poisson grâce à telle gamme de colorations délirantes, pour mieux délester sa foule d'habitués de leur excédent capillaire. une fois son cahier des charges rempli, elle fraye avec le plus offrant, et fait littéralement tenir des vies à un cheveu.
spécialisé dans le profilage, son commerce profite à tous ceux qui veulent commodément persécuter un particulier, faire du chantage, commanditer des meurtres dans de plus rares cas. une fiche client par tête, un nombre de cheveux (calculés à la fibre près) à disposition, et l'évolution détaillée de sa dégénérescence. ses exactions vont de ce qu'elle appelle l'avertissement à la liquidation.
naturellement elle pratique les prix les plus compétitifs du marché.
cauchemar rampant
regrets éternels
regrets éternels
imaginez la nocturne opus 9 n°2 de chopin jouée sur un piano à queue. c'est un steinways & sons. il est en flammes. le soliste n'est pas fâché. il joue en mi bémol majeur. la partition prend feu, puis le costume du musicien, puis le musicien. le piano est sur l'autoroute. l'autoroute est au fond de la mer. méditez sur cette image. demain vous l'aurez oubliée.
la navaja a vu, a su et sait toujours. sa vie a embouti toutes les autres avec un grand savoir pyrotechnique. télescopée sur l'échiquier mafieux comme dans un carambolage, elle a tiré ses pesos des poches les moins profondes. à entendre son nom aujourd'hui certains lèchent encore leurs plaies d'hier. comme dirait triplego, coup de schlass n'est pas digital. car dans l'espace affine où la navaja existe, les confluents entre la mort et la vie sont itératifs. pas de notion de maths ici. ici, il est simplement question de violence.
de violence, ou plutôt de vitesse. à vitesse faible sa main effleure ton visage et en caresse la peau. à vitesse mag 3 elle détache ta tête de ta colonne vertébrale. peu importe l'allure à laquelle on se déplace, il est préférable d'avoir des freins. de se souvenir à quelle adresse postale on a envoyé des oreilles en guise d'avertissement. de se remettre dans le contexte, de se souvenir où est sa place. de savoir décider si l'on veut rester rapide, ou à l'inverse, commencer à prendre son temps.
son temps, la navaja l'a fait. elle a joué du couteau assez profond pour qu'aucune cicatrice ne lui pardonne. est-ce qu'il y a un avenir pour les peaux vérolées de passé qui se cherchent un coin tranquille ? un saule, une fleur, un sarment à l'ombre duquel crever enfin, heureux et indifférent. étranger au grabuge qui fait des trous rouges dans le présent. mais si le sang suspendu coagule, il ne sèche pas. jamais. la mafia est une grande famille, ça oui.
le doigt dans son whisky sans glace, la vieille lame prend la température d'une ville raide - d'une vie folle. elle regarde ses poignets meurtris par les liens, son teint rendu blême par les magouilles. si les ténèbres lui ont surtout causé du tort, elle a aussi appris de ses plus noires leçons.
qu'est-ce qui lui reste à part la pénombre ? qu'est-ce qu'elle peut attendre du mouvement quand elle n'est plus qu'inertie ? la navaja est une lame qui retombe. mais elle est encore si prompte à trancher.
quand on est jeune, on ne peut pas croire longtemps à ses idées. dans la pègre, les idées ont la dent aussi longue que les hommes ont la vie courte. de cruelles convictions ont fait de la navaja la plus sanguinaires de tous, un jour, avant. mais ce n'est plus vrai, plus maintenant. ce n'est plus vrai, n'est-ce pas ?
circulez, plus rien à voir. plus davantage à construire. la navaja s'est déjà écroulée dans ses propres certitudes : elle a ressenti la fêlure qui a traversé sa foi. et pourtant elle hésite. elle hésite, usée dans le crime, le lancinant balancier des derniers coups et des raccrochages. une carne comme elle sait tout des 'encore une fois'.
la navaja a vu, a su et sait toujours. sa vie a embouti toutes les autres avec un grand savoir pyrotechnique. télescopée sur l'échiquier mafieux comme dans un carambolage, elle a tiré ses pesos des poches les moins profondes. à entendre son nom aujourd'hui certains lèchent encore leurs plaies d'hier. comme dirait triplego, coup de schlass n'est pas digital. car dans l'espace affine où la navaja existe, les confluents entre la mort et la vie sont itératifs. pas de notion de maths ici. ici, il est simplement question de violence.
de violence, ou plutôt de vitesse. à vitesse faible sa main effleure ton visage et en caresse la peau. à vitesse mag 3 elle détache ta tête de ta colonne vertébrale. peu importe l'allure à laquelle on se déplace, il est préférable d'avoir des freins. de se souvenir à quelle adresse postale on a envoyé des oreilles en guise d'avertissement. de se remettre dans le contexte, de se souvenir où est sa place. de savoir décider si l'on veut rester rapide, ou à l'inverse, commencer à prendre son temps.
son temps, la navaja l'a fait. elle a joué du couteau assez profond pour qu'aucune cicatrice ne lui pardonne. est-ce qu'il y a un avenir pour les peaux vérolées de passé qui se cherchent un coin tranquille ? un saule, une fleur, un sarment à l'ombre duquel crever enfin, heureux et indifférent. étranger au grabuge qui fait des trous rouges dans le présent. mais si le sang suspendu coagule, il ne sèche pas. jamais. la mafia est une grande famille, ça oui.
le doigt dans son whisky sans glace, la vieille lame prend la température d'une ville raide - d'une vie folle. elle regarde ses poignets meurtris par les liens, son teint rendu blême par les magouilles. si les ténèbres lui ont surtout causé du tort, elle a aussi appris de ses plus noires leçons.
qu'est-ce qui lui reste à part la pénombre ? qu'est-ce qu'elle peut attendre du mouvement quand elle n'est plus qu'inertie ? la navaja est une lame qui retombe. mais elle est encore si prompte à trancher.
quand on est jeune, on ne peut pas croire longtemps à ses idées. dans la pègre, les idées ont la dent aussi longue que les hommes ont la vie courte. de cruelles convictions ont fait de la navaja la plus sanguinaires de tous, un jour, avant. mais ce n'est plus vrai, plus maintenant. ce n'est plus vrai, n'est-ce pas ?
circulez, plus rien à voir. plus davantage à construire. la navaja s'est déjà écroulée dans ses propres certitudes : elle a ressenti la fêlure qui a traversé sa foi. et pourtant elle hésite. elle hésite, usée dans le crime, le lancinant balancier des derniers coups et des raccrochages. une carne comme elle sait tout des 'encore une fois'.
slt あなたのお母さん | alors lautre jour lou me payait des coups et elle ma dit vient sur funky town dc jai répondu bah oui frere |
Dernière édition par La Navaja le Mar 19 Fév - 17:54, édité 6 fois
✰ Lim Miyu
Messages : 204
Date d'inscription : 18/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE Lim Miyu Sam 16 Fév - 20:44 |
oh c toi
vieille teub
je vais te valider
tu vas rp quans le fo sera mort mdrrrrr
mais ce sera bo hein
déjà miss crocodile tu envoies du lourd
tu fais des folies
je plussoie j'aime beaucoup beaucoup
vieille teub
je vais te valider
tu vas rp quans le fo sera mort mdrrrrr
mais ce sera bo hein
déjà miss crocodile tu envoies du lourd
tu fais des folies
je plussoie j'aime beaucoup beaucoup
✰ La Navaja
Messages : 2
Date d'inscription : 15/02/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE La Navaja Sam 16 Fév - 20:58 |
pk me refuser le respect??
✰ Lim Miyu
Messages : 204
Date d'inscription : 18/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE Lim Miyu Sam 16 Fév - 21:08 |
pcq qui aime bien châtie sale
et que t un bott
mais que ok la navaja elle est grv badass
allez je t'envoie bière et amour (et du sablé framboise)
va faire cette fiche
et que t un bott
mais que ok la navaja elle est grv badass
allez je t'envoie bière et amour (et du sablé framboise)
va faire cette fiche
✰ Ai Inoue
Messages : 39
Date d'inscription : 25/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE Ai Inoue Dim 17 Fév - 1:10 |
YEEEEEEEEEEEEEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA BABEY
✰ t89
Messages : 158
Date d'inscription : 22/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE t89 Dim 17 Fév - 15:48 |
wow elle a super cool jpp
la bvn à toi !!
la bvn à toi !!
✰ Calvin Kikuchi
Messages : 45
Date d'inscription : 23/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE Calvin Kikuchi Lun 18 Fév - 0:20 |
C'est une citation du parrain que je vois ?
C'est Crocodile que je vois ?
C'est mon meme préféré que je vois ?
Bienvenue
C'est Crocodile que je vois ?
C'est mon meme préféré que je vois ?
- Spoiler:
Bienvenue
✰ Lim Miyu
Messages : 204
Date d'inscription : 18/01/2019
Re: LOOK HOW THEY MASSACRED MY BOY. UNE OEUVRE DE Lim Miyu Mar 19 Fév - 20:05 |
ah que coucou petit pou dans le choux (c'était pour la rime je sais elle craint)
le doigt dans son whisky sans glace, la vieille lame prend la température d'une ville raide - d'une vie folle. elle regarde ses poignets meurtris par les liens, son teint rendu blême par les magouilles. si les ténèbres lui ont surtout causé du tort, elle a aussi appris de ses plus noires leçons. OK JE PENSAIS PAS UN JOUR DIRE ÇA MAIS.... Je veux son doigt dans mon whisky.
non en vrai c glauque ça
je voulais dire que c trop bien, que ton style est au top bb et que tu as finis très vite ta fiche et je te félicite
MDR
non vraiment
elle est trop badass ta meuf et j'attend qu'elle kick des culs ici bas (j'allais dire "dont le miens" mais vrmt ça sonne so gross)
J'TE BAISE (du verbe baiser au sens embrassade, ou accolade buccale ? sounds gross too) LE FRONT (j'aurais aimé dire fesse gauche mais c'est peu catholique et approprié)
BESOS
(je radote)
Parfait ! Te voilà accepté au sein de notre communauté. À présent, histoire que tu t'intègres comme un couteau dans du beurre mou (cette comparaison est superbe ok), merci d'aller créer ta fiche de relation ! Ensuite tu peux demander un rp mais aussi, parce que tu ne vas coucher dehors : demander un logement !
N'oublie pas de recenser ton avatar et de consulter les news régulièrement. Si tu as la moindre question, envoie un MP au Staff.
le doigt dans son whisky sans glace, la vieille lame prend la température d'une ville raide - d'une vie folle. elle regarde ses poignets meurtris par les liens, son teint rendu blême par les magouilles. si les ténèbres lui ont surtout causé du tort, elle a aussi appris de ses plus noires leçons. OK JE PENSAIS PAS UN JOUR DIRE ÇA MAIS.... Je veux son doigt dans mon whisky.
non en vrai c glauque ça
je voulais dire que c trop bien, que ton style est au top bb et que tu as finis très vite ta fiche et je te félicite
MDR
non vraiment
elle est trop badass ta meuf et j'attend qu'elle kick des culs ici bas (j'allais dire "dont le miens" mais vrmt ça sonne so gross)
J'TE BAISE (du verbe baiser au sens embrassade, ou accolade buccale ? sounds gross too) LE FRONT (j'aurais aimé dire fesse gauche mais c'est peu catholique et approprié)
BESOS
(je radote)
Parfait ! Te voilà accepté au sein de notre communauté. À présent, histoire que tu t'intègres comme un couteau dans du beurre mou (cette comparaison est superbe ok), merci d'aller créer ta fiche de relation ! Ensuite tu peux demander un rp mais aussi, parce que tu ne vas coucher dehors : demander un logement !
N'oublie pas de recenser ton avatar et de consulter les news régulièrement. Si tu as la moindre question, envoie un MP au Staff.
AMUSE TOI BIEN !
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