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funky town
私たちの間で歓迎

Funky Town, c'est une ville, au Japon. Puis, une explosion, une brèche, un monde parallèle, des monstres, un mur qui se construit, une histoire qui s'enflamme, une population qui se chamaille sur des sons groovy et disco. Tu n'as rien compris ? Très bien, tu peux aller lire le contexte et les intrigues !


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Remi Takeshima
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Date d'inscription : 12/02/2019
sans famille -- remi UNE OEUVRE DE Remi Takeshima Mar 12 Fév - 14:57

remi takeshima
surnom // sena12, le pseudonyme que tu utilises en ligne (pour ta défense, tu l'as choisi quand tu avais 12 ans)
prénom(s) nom // takeshima remi
âge // 18 ans
genre // humain
sexualité // tu n'es pas vraiment intéressée. c'est comme si quelque chose s'était brisé en toi et que tu n'arrivais plus à dépasser un simple attrait esthétique. la beauté t'attire sans jamais te submerger.
statut marital // célibataire
lieu de résidence // sakura no bōruto
poste/métier // lycéenne en dernière année, et à tes temps perdus blogueuse relatant tes rencontres avec les monstres. tes histoires, touchantes et humaines, sont lues par un nombre raisonnable d'abonnées.
groupe // citizens
les finances ? // classe moyenne
origines // "japonaises" (des origines coréennes cachées, dont tu n'as même pas conscience)
feat. // matsuoka gou - free


au nom de la curiosité
Si j'étais un animal // un lapin
Si j'étais une plante // une orchidée
Si j'étais un élément // la terre
Si j'étais une pierre précieuse // du jade
Si j'étais une saison // le printemps
Si j'étais un moment de la journée // midi
Si j'étais un des cinq sens // l'ouïe
Si j'étais une ville // une ville de campagne
Si j'étais une planète // jupiter
Si j'étais un paysage // une forêt
Si j'étais un objet du quotidien // un sac
Si j'étais un vêtement // une chemise
Si j'étais un livre // je reviendrai avec la pluie, ichikaa takuji
Si j'étais un personnage de fiction // momotaro
Si j'étais un mot // variation
Si j'étais un film // titanic
Si j'étais un dessin animé // hamtaro
Si j'étais une créature légendaire // un fantôme
Si j'étais un jeu // un jeu de cartes
Si j'étais une chanson // daddy cool, boney m
Si j'étais un instrument de musique // harpe
Si j'étais une photo // une photo en noir et blanc
Si j'étais un art // littérature
Si j'étais un événement historique // la bulle économique de 1986-1990
Si j'étais un plat // une soupe
Si j'étais une friandise // un morceau de chocolat
Si j'étais un fruit // une poire
Si j'étais une boisson // de l'eau
Si j'étais une odeur // l'encens
Si j'étais une citation // rien ne sert de courir
Si j'étais un chiffre ou un nombre // 123
Si j'étais un bruit // un klaxon
Si j'étais un compliment // tu as une bonne haleine
Si j'étais un hashtag // #indicible
Si j'étais une mauvaise habitude // fermer les yeux sur ce qui déplaît
Si j'étais une qualité // la certitude
Si j'étais une insulte // face de rat
Si j'étais une émotion // un tourbillon d'émotion
MONSTERS ARE AMONG US
私たちの間でモンスター

Ta voix aiguë évoque le sifflement d'une chaudière. Tes humeurs varient d'un instant à l'autre ; tantôt enjouée, tantôt vide, tu souffles le chaud et le froid, te contredit sans cesse, et tu n'essayes même plus de te justifier. On te dit volontiers un peu bizarre, car tu as parfois des réactions incomprises ; les règles élémentaires de politesse t'échappent parfois, quant à d'autres moments tu te montres très à cheval sur les principes. Tu vis un peu dans ton monde, et tu souris sans retenue, ignorant tout des signaux que tu envoies aux autres.
Parfois on te dit, Remi, tu es cassée et tu les regardes sans rien dire - tes beaux yeux rouges brillant d'incompréhension. Toi, cassée ? Allons donc, tu es heureuse, sociable, tu vas facilement vers les autres, tu ne t'embarques jamais dans des plans foireux et tu fais bien tous tes devoirs. Tu es normale, n'est-ce-pas ?
Mais tes rires sont comme des brisures ; à chaque instant ils s'éparpillent, se répandent autour de toi comme des fragments de pierre roulant contre une surface plane. Tu n'en as pas vraiment conscience. Tu vis isolée de tes douleurs, refusant d'admettre jusqu'à leur existence ; tu es, somme toute, une jeune fille assez banale, et tu ne serais pas si différente des autres si t. n'était pas mort.

remi.exe
a cessé de fonctionné
Un jour, t. a posé une couronne de fleurs sur ta tête.
Vous jouiez dehors et tu t'accrochais à lui de tes petits doigts d'enfant. Quel âge avais-tu ? sept ans ? peut-être moins encore ? A l'époque tu avais peur de jouer seul dehors, alors il t'accompagnait toujours. Les autres enfants avaient du mal à croire que c'était ton grand frère, parce que tu l'appelais par son prénom et que vous ne vous ressembliez pas beaucoup. T. avait le visage d'un ange, avec des traits fins et doux, des yeux sombres aux longs cils, et lorsqu'il souriait, sa bouche prenait un pli songeur. Tu étais un enfant mignon, avec tes joues potelées et les rubans que ta mère avait accroché à la poche extérieure de ton gilet. Lorsqu'on vous accusait de mentir sur votre lien de parenté, t. s'énervait ; mais toi, tu restais calme et indifférent, comme si cela ne te concernait pas vraiment.
Tu n'avais jamais aimé les fleurs ; lorsque tu sortais, tu n'éprouvais aucun scrupule à les piétiner si elles se trouvaient en travers de ton chemin. T., lui, les avait toujours aimées ; tu le voyais parfois s'accroupir devant un parterre de fleurs, les genoux collés au rebord, les doigts effleurant délicatement les pétales de couleur. Ça te faisait rire ; et puis tu te détournais de lui, parce que ça ne t'intéressait pas vraiment.
La couronne était si légère que tu ne la sentais même pas. Tu l'as laissée un instant, puis tu as posé les doigts contre les pétales et tu t'es dit que c'était en trop. Tu as retiré la couronne, mais ce faisant les tiges ont légèrement raccroché  et se sont mêlées à tes cheveux.
Tu t'es rendu compte du poids de tes cheveux, de la lourdeur de cette cascade noire contre ton dos ; et quand tu es rentré chez toi, tu t'es saisi des ciseaux et tu les as coupés. Ta mère a hurlé en entrant et a appelé une coiffeuse de ses amies. Tu as laissé la femme s'occuper de ta tête, vide comme une poupée, si immobile que tu respirais à peine.
Le lendemain, en te regardant dans le miroir, tu as pleuré et t'es juré de ne plus jamais couper tes cheveux.

---

Entre lui et toi, ce n'était pas de la haine - mais ce n'était pas de l'amour non plus. Le mot le plus proche serait sans doute jalousie, car le temps passant, tu as commencé à remarquer des différences entre vous deux.
Lorsque tu rentrais un peu plus tard que d'habitude, tu te faisais réprimandée. Au départ, tu pensais que c'était dû à ton âge. Et puis tu as atteint l'âge que ton frère avait lorsqu'il était autorisé à rentrer bien après le coucher du soleil, et tu n'as toujours pas obtenu la permission d'en faire de même. Tu n'avais pas le droit de rester dîner chez une amie si tu ne passais pas un coup de fil avant. En revanche, il arrivait parfois que t. ne soit pas là quand vous passiez à table, et ta mère soupirait alors en disant, il a tellement d'amis, alors même qu'elle n'avait aucune idée de l'endroit où il se trouvait.
Ta mère a commencé à te demander à l'aider à débarrasser la table, à essuyer la vaisselle, à passer les poussières dans le salon. Tu t'y soumettais de bon gré, parce que tu ne voulais pas qu'elle se retrouve seule avec les corvées ménagères ; ton père travaillant très tard, il était normal qu'il ne participe pas. En revanche, tu ne trouvais aucune excuse à ton frère.
Un jour, ta mère te demanda de ranger la chambre de ton frère. Bordélique, il laissait traîner ses vêtements sales au sol, ne prenait jamais la peine d'aérer et encore moins de faire son lit. Tu n'as rien dit ; tu t'es levée de ton bureau, où tu faisais tes devoirs, et tu as poussé la porte de sa chambre. Une odeur de renfermé et de sueur t'accueillit, et tu grimaças. Pourtant tu pris sur toi, trias les livres qui jonchait son bureau, dégageas le dessus de sa commode, passa un bon coup de balai par terre. Quand tu en eus finis, la chambre était loin d'être propre, et pourtant on voyait la différence.
Ton frère ne te dit même pas merci. Il ne remarque rien et le lendemain, quand tu jettes un coup d'oeil à travers sa porte entrouverte, tu as l'impression que sa chambre est comme avant.
Tu ne mets pas vraiment le doigt sur le problème - mais tu as besoin d'un échappatoire. Alors tu t'empares d'un livre qui lui appartient, d'un livre sur le folklore, et tu te mets à le dévorer.

---

Tu étais assise sagement dans ta robe noire, les genoux serrés l'un contre l'autre, baissant sobrement le regard vers les plis droits de la jupe. Tu ne voulais pas lever la tête mais tu ne pouvais pas t'empêcher d'entendre. Derrière le murmure incessant des condoléances, les pleurs étaient déchirants.
Tes yeux restaient secs. Tu avais sangloté encore et encore à présent tu n'avais plus de larmes à offrir. Tu n'étais même pas certaine de pouvoir encore pleurer un jour.
Tes parents n'avaient rien remarqué. Pas même quand ta mère avait glissé la main dans ta chevelure qui t'arrivait à présent aux épaules pour emprisonner tes mèches inégales dans un chignon serré. Pas même quand ton père t'a pris la main en sortant de votre domicile. Ils étaient enfermés dans leur douleur à eux, la partageaient entre eux deux, et tu étais presque oubliée.
A présent ils acceptaient les condoléances en essayant de maintenir les convenances. Un mot flottait sur toutes les lèvres. Attentat. Parfois c'était un nom, Kabuki, qui l'accompagnait. Tu étais trop jeune pour comprendre ce que cela signifait, mais après tout, tu avais déjà du mal à comprendre pourquoi ton frère avait disparu. Ce n'était pas normal. Il était jeune et n'avait aucune raison de mourir.
Tu ne voulais pas t'enfermer dans la haine, simplement t'empêcher de penser à lui. Tu étais prête à le tuer une seconde fois, dans ta pensée, à nier jusqu'à son existence même, pour t'éviter d'avoir à souffrir. Tu avais peur des douleurs du cœur.
Tu ne savais pas à quel point cet épisode allait te modeler, faire de toi une poupée à demi-creuse. Tu ne savais pas que ta joie naîtrait de l'ignorance neuve que tu te bâtissais. Tu te mis à sourire, mais comme tu avais la tête baissée, personne ne le remarqua.

---

Au petit matin, tu te lèves avant même le soleil. Tu ouvres la fenêtre de ta chambre, laissant entrer l'air frais de la nuit mourante, le corps frissonnant sous ta chemise de nuit pâle. Tu t'installes sur la chaise de ton bureau, les jambes appuyées contre le rebord, et, téléphone en main, tu commences par faire le tour des réseaux sociaux. Tu regardes l'activité de ton blog, répond aux commentaires et supprime les spams. Tu n'allumes jamais la lumière et, tant que l'aube ne pointe pas le bout de son nez, tu as mal aux yeux face à l'écran rétroéclairé, malgré le mode nuit que tu as pris soin d'activer.
Quand tu as fini, tu glisses ton téléphone dans ton sac, refermes fenêtre et rideaux, et enfiles ton uniforme. Tu ne te maquilles pas, mais tu n'en as pas besoin, tu es vraiment une jolie fille. Tu passes un rapide coup de brosse dans tes cheveux, que tu noues généralement en queue de cheval afin de ne pas être dérangée. Puis tu descends dans la cuisine.
Ta mère a achevé de préparer le petit-déjeuner, mais elle te tourne le dos, refusant de quitter du regard ses fourneaux. Elle porte un tablier noire qu'elle noue dans le dos. Ton père non plus ne te regarde pas. Le matin, il ne mange plus du tout, et son visage s'est tant aminci qu'il te semble presque qu'il a fondu comme du plastique oublié à proximité d'une source de chaleur. Tu marmonnes un bonjour, tu avales le même petit-déjeuner insipide auquel tu as le droit depuis ce jour fatidique, et tu manges en silence. Quand tu sors de table, tu oublies tout de l'atmosphère pesante et tu te mets à sourire en pensant à ta journée.
Ce n'est pas tant l'école qui te réjouis ; à vrai dire, tu considères ce temps comme un passage obligé, quelque peu ennuyeux, mais qui ne te dérange pas plus que cela. Tu discutes avec tes copines de monstres et tu vends parfois des photos que tu as pris et que tu ne comptes pas publier sur ton site. Comme ce moment où tu as réussi à capturer la transformation d'un kitsune. L'image est assez dérangeante, mais elle se vend très bien. Tu économises l'argent pour acheter un nouveau trépied, le tien étant trop bancal pour pouvoir être utilisé.
Après les cours, tu bâcles tes devoirs le plus vite possible afin de pouvoir sortir. Tu erres dans les rues pendant des heures. Tu poses des questions aux passants. Parfois des types louches viennent t'approcher, et ça te fait peur, alors tu te mets à courir et tu évites le coin pendant quelques temps. Mais tu finis toujours par y revenir, parce que tu aimes le goût de l'aventure et parce que, dans le fond, tu ne te soucies pas tant que cela de ta propre personne. Parfois il ne se passe rien et tu rentres bredouille. Parfois tu prends des photos, pose des questions, t'enquiert de leurs histoires.
Ce que tu aimes le plus faire, c'est dévoiler les légendes urbaines. Souvent, ce ne sont que de petites histoires locales, presque inconnues ; des adolescents qui s'inventent un mythe pour se faire peur, et que personne d'autre ne connaît. Souvent tu préviens qu'il n'y a rien du tout ; mais parfois, il y a un monstre.
Quand tu vas te coucher, tu es si fatiguée que tu t'endors tout de suite.

nii-san
ニックネーム
me revoilà & jsp jouer des filles en vrai
zéro originalité as usual

.... g un kink sur les red hair i guess


Dernière édition par Remi Takeshima le Dim 17 Fév - 15:34, édité 1 fois
Remi Takeshima
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banri
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Re: sans famille -- remi UNE OEUVRE DE banri Mar 12 Fév - 21:40
On dirait la petite sœur de la famille Aoki, elle a même la couleur de cheveux qu'il faut. ;)
Bon courage pour l'avatar et la validation !
banri
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Lim Miyu
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Re: sans famille -- remi UNE OEUVRE DE Lim Miyu Jeu 14 Fév - 15:38
soihegzoeuhgze
ouiuouiouioui
sans famille -- remi 1981560810

je partage ton kink sur les roukmouts
elle est trop belle
je suis sparkle et cream à l'intérieur là hehehehe (c chelou)
non mais voilà
tu gères
sans famille -- remi 3533557933
Lim Miyu
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4
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Re: sans famille -- remi UNE OEUVRE DE 4 Sam 16 Fév - 13:20
mais dis donc cette ref avatar est v cool :winks:
(sinon le compliment dans le question je,,,,,,,,,)(et le titre aussi stp sans famille -- remi 2961868780 )
l'histoire se lit bien eheh, si ce n'est pas terminé j'ai hâte de lire le reste pour grapiller plus d'info, en tout cas j'aime bcp t.
♥♥
4
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Remi Takeshima
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Re: sans famille -- remi UNE OEUVRE DE Remi Takeshima Dim 17 Fév - 15:38
@banri ikr!!! en vrai jsuis sûr ils ont un lien de parenté mdr

@lim miyu merci de me valider mdr moi aussi elle me rend sparkle ptn jlm tellement
jspr juste que ma remi lui rendra hommage !!

@4 yeah tu sais que je voulais la jouer depuis une éternité + toutes les refs de free limite tsais
le compliment c genre tellement underrated ???? moi jsais pas j'aimerais bien qu'on me dise que g bonne haleine, ça me ferait ma journée mdr
ça y est g fini l'histoire si tu veux en lire plus !!!
Remi Takeshima
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Lim Miyu
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Re: sans famille -- remi UNE OEUVRE DE Lim Miyu Mar 19 Fév - 19:56

OK BAAAAAABE
J'AI RIEN À REDIRE
cette jolie rousse est bcp trop bien
j'ai adoré lire la partie histoire, c'est très prenant
sans famille -- remi 2961868780

du coup elle est trop bien et aussi un peu scary
sans famille -- remi 424736418

MAIS FRANCHEMENT GG
tu ponds des perso' oklm de la crème
sans famille -- remi 3533557933

CETTE FOIS CI PROMIS MON MESSAGE DE VALIDATION SERA COURT
IL S'ARRÊTE LÀ D'AILLEURS
VOILÀ
MAAHAHAH

(ok il est encore long)

besos
sans famille -- remi 2243504055


Parfait ! Te voilà accepté au sein de notre communauté. À présent, histoire que tu t'intègres comme un couteau dans du beurre mou (cette comparaison est superbe ok), merci d'aller créer ta fiche de relation ! Ensuite tu peux demander un rp mais aussi, parce que tu ne vas coucher dehors : demander un logement !

N'oublie pas de recenser ton avatar et de consulter les news régulièrement. Si tu as la moindre question, envoie un MP au Staff.

AMUSE TOI BIEN !
✮✮✮
Lim Miyu
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